“La tolérance est une vertu qui rend la paix possible.”
“Les actes de terrorisme ne peuvent jamais se justifier, quelque raison que l'on puisse faire valoir.”
“Les talibans pensaient que les balles allaient nous réduire au silence, mais ils échouèrent. Au lieu de ce silence s'élevèrent des milliers de voix.”
“Je ne connais rien de plus servile, de plus méprisable, de plus lâche, de plus borné qu’un terroriste.”
Les ardeurs carliennes s'étant rendormies
La peur dans les veines s'étant évanouie
Il était temps
De ré-enflammer l'Occident
Il suffisait de laisser se calmer
Les voix avides de liberté
D'expression notamment
Celles qui ne subissent pas la pression de l'Orient
Les troupes ayant infiltrés
La nation dite de fraternité
Rien ne se fit dans la hâte
Attendant un somme de Vigipirate
C'est au bout du onzième mois
Qu'ils se manifestèrent en Judas
Le treizième vendredi, en traîtres
Princes de fourberies, de la kalash les maîtres
Le coup du journal,
C'était banal !
En plus ils n'avaient pas compris
S'engueulant sur "Je suis ou pas Charlie"
Tuer des civils
C'est beaucoup plus vil !
Ils comprendront mieux,
C'est plus judicieux
Vous pensiez que c'était fini ?
C'n'est que l'début de leurs folies
Car pendant que l'on vit dans l'indifférence
L'Orient se meurt dans la méfiance
Mais méfiance de nous
Les laissant crever de partout
Empêchant l'arrivée des migrants
Sans stopper chez eux les tyrans
C'est comme ça qu'ils ravivent
Une flamme dangereuse et trop vive
Prosélytistes et terroristes
Rallument les cœurs qu'ils désistent
Veilleurs et éclaireurs, à vos flambeaux !
Brisons les leurs à coups de mots !
Allons Charlies, face à ces drames
Soyons unis, élevons nos âmes !
13 novembre 2015